Pardon et moi

Pardon et moi
C'est la dernière rose de l'été
Qui seul reste fleuri ;
Tous ses adorables compagnons
Flétri et disparu;
Tu n'es plus une fleur parmi ses sœurs,
Plus un bouton de rose à proximité
Pour refléter ses rougissements
Ou le faire soupirer pour un soupir.
Seulement si vous pouvez voir le signe

Je ne te quitterai pas, toi la belle solitaire,
Languis sur ta tige ;
Puisque les belles dorment,
Allez dormir avec eux.
Donc donc j'ai répandu
Tes draps sur le lit
où vos compagnons de jardin
Allongez-vous sans parfum et sans vie.
Ici nous allons mourir
Puis-je vous suivre bientôt,
Quand la véritable parade nuptiale s'effondre et se dessèche.
Et quel cercle brillant de rayons d'amour.
Comme l'or et les pierres précieuses d'une bague étincelante
Et quand l'été se termine
On boira Rose D'ETÉ
Les bijoux vont tomber.
Quand les cœurs fidèles sont flétris et endommagés.
Et ceux qui vous sont chers ont fui,
Buvons plutôt pour l'été... 
Vous sirotez l'eau de Dieu... 
Je siroterai votre nectar
Un peu tordu et bancal
Si je le dis moi-même
C'est presque de la trahison et trahison....
Et les lèvres peintes je soulève mon voile...
Oh, qui voudrait vivre Dans ce monde désolé ?
Seulement une beauté !
Seule la dernière rose de l'été.

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